Il est désormais possible de réaliser un test de paternité prénatal grâce à l’évolution technologique dans le domaine génétique. Mais comment fonctionne un test de paternité prénatal ? Voici tout ce que vous devez savoir.
Le délai de réalisation
Selon le laboratoire, un test de paternité prénatal peut être effectué dès la 12e semaine d’aménorrhée ou la 8e semaine du fœtus. Ensuite, les résultats sont accessibles au plus tard une semaine après. Les résultats permettent de confirmer ou d’infirmer le lien de filiation existant entre le fœtus et le présumé père avant l’achèvement du délai d’avortement légal. C’est pour cela que certaines personnes s’inquiètent du fait que le test de paternité prénatal peut influer sur la décision d’avortement.
La bénignité
Si auparavant c’était le cas, le test de paternité prénatal d’aujourd’hui ne présente plus de danger. En effet, avant, il était nécessaire d’effectuer une amniocentèse, c’est-à-dire un prélèvement d’échantillon de liquide amniotique, pour obtenir l’ADN du fœtus et réaliser une analyse. Or, cela pouvait avoir de graves conséquences sur le fœtus et sur la mère, par exemple la trisomie chez le fœtus. À l’heure actuelle, pour réaliser un test de paternité, il suffit d’avoir un échantillon sanguin de la mère et d’isoler l’ADN fœtal. Ce procédé est simple, plus rapide et non invasif.
Le test de paternité prénatal est plus pratique
Par rapport au test classique (qui est beaucoup plus lourd à subir que ce soit pour le fœtus ou pour la mère), la procédure de réalisation de test de paternité prénatal à l’aide d’un échantillon sanguin présente de nombreux avantages. Notamment, l’opération n’exige plus une grande spécialisation pour l’obtention de résultats équivalents si bien que le test de paternité prénatal est aujourd’hui accessible sur internet. Il suffit de commander le kit spécial sur pro-paternite.com. Ce qui rend faciles les choses et incite de plus en plus de parents à faire le test.