S’arrêter simplement sur la première photo d’une personne qui fait de l’escort

Vous prenez rendez-vous avec la première personne que vous voyez sur la plateforme. C’est une erreur, car vous risquez de regretter votre choix. Peut-être qu’une fois que vous vous rencontrerez, son physique ne vous plaira pas. Peut-être que sexuellement, vous êtes comme le jour et la nuit. Surtout, ne vous précipitez pas pour ne pas risquer de connaître une déception ! Une fois sur un site de rencontre qui vous met en relation avec de nombreuses personne qui exercent le métier d’escort à Marseille, pourquoi ne pas prendre le temps de regarder les photos de chaque membre et de lire les renseignements les concernant ?

Si la patience vous fait défaut, alors utilisez les « raccourcis » sur ces plateformes. Sur 1Baiser, par exemple, vous avez des classements qui peuvent vous aider à trouver plus rapidement l’escort-boy ou l’escort-girl qui vous convient. Il y a la liste des plus populaires, celle des personnes inscrites qui sont les plus suivies, etc.

Ignorer les refus à certaines de vos demandes

Une personne qui propose un service d’escort à Marseille n’est pas votre jouet sexuel. Vous n’avez pas le droit de la condamner à l’esclavage sexuel. Elle a le droit de refuser certaines pratiques qui vous font envie. Ce n’est pas parce que vous payez ses services que vous avez l’autorisation de disposer d’elle intégralement et sans limite. D’ailleurs, les sites sérieux et fiables de mises en relation insistent sur l’obligation d’accepter un « non » à des requêtes faites par la clientèle. Cette question du refus explique pourquoi il est indispensable de discuter avec l’escort-boy ou l’escort-girl avant de fixer un rendez-vous. Si une personne refuse de réaliser un de vos fantasmes, peut être qu’une autre l’acceptera.

La sécurité des informations

Parmi la multitude de sites érotiques que vous trouverez sur le net, faites attention à en choisir un qui a un bon niveau de cryptage de données personnelles. En effet, l’anonymat ainsi que la protection de vos données sont prioritaires dans le choix d’un site pour adultes. Pour ce faire, privilégiez les sites ayant un cryptage SSL qui témoigne de son niveau de sécurité. Vous serez certain qu’aucune de vos informations personnelles ne sera divulguée ou utilisée d’une mauvaise manière.

Bien entendu, il est recommandé de bien lire les conditions générales du site qui concerne la RGPD avant de cliquer sur « valider ». En effet, sans lire attentivement les points des CG, vous pourrez donner votre consentement pour que le site utilise vos informations personnelles sans le savoir.

L’anonymat

Tous les sites pour adultes demandent – ou presque – à leurs utilisateurs de créer un compte avant de pouvoir utiliser leurs services et/ou se mettre en contact avec les autres utilisateurs. Toutefois, certains sites érotiques proposent l’option « anonymat » qui vous permet de ne pas avoir à mettre une photo de profil, et donc de passer inaperçu. Si vous êtes timide ou que vous souhaitez seulement garder votre vie privée, optez pour les sites avec cette option.

De manière générale, vous aurez à payer une somme X pour activer cette fonctionnalité, mais certains sites pour adultes le font gratuitement. Ainsi, avec l’option anonymat, vous pourrez discuter avec d’autres utilisateurs ou des professionnels du sexe, sans tabou et sans qu’il/elle ne sache à quoi vous ressembler.

Les fonctionnalités

Choisissez également un site érotique via les fonctionnalités qui y sont disponibles. Message instantané, possibilité de faire des appels audio/vidéo ou encore envoie de photos peuvent être de très bon arguments pour vous inscrire sur un site érotique. Certains sites pour adultes proposent même des discussions de groupe ou des rencontres en temps réel, selon le type de compte que le client détient ainsi que ses recherches.

Un contenu de qualité

Le contenu est également l’un des critères pour bien choisir un site érotique. Il faut que ce dernier soit attrayant, avec plein de vidéos et de photos qui vous donnent envie d’en savoir plus. Par exemple, sur le site Facegirl, vous avez les photos des photos des facegirl pour avoir un aperçu de leur beauté.

Le site met également en avant les services que peuvent vous procurer les profils des filles qui sont sur le site (soins corporels, faire l’amour, rencontres sexy, plan cul, etc.). Vous trouverez donc très facilement ce que vous recherchez, sans avoir à fouiller le site de fond en comble.

De plus, la navigation sur le site a été facilitée pour permettre à chaque utilisateur de profiter d’une expérience de qualité. Vous y trouverez même un petit guide pour une séance érotique torride.

La maîtrise de la langue

Les sites érotiques sont victimes du succès d’Internet. En effet, la grande majorité des sites pour adultes que vous trouverez sur le net existent bel et bien, mais sont délocalisés à l’étranger, devenant un moyen d’obtenir de l’argent pour certains individus malintentionnés.

L’un des premiers points à vérifier, surtout si le site est payant, réside donc dans la qualité des échanges. Si la majorité des faux profils sur les sites érotiques maîtrisent parfaitement le français, il y en a d’autres qui se lancent avec un français basique.

Pour détecter les sites érotiques avec de faux profils, il vous suffit déjà de faire attention aux fautes que font les « personnes » qui parlent avec vous. Attention, il ne s’agit pas de détecter les petites fautes comme le manque de « e » ou de « s », mais les erreurs de syntaxe dont les mots qui manquent.

Dès que vous en avez détecté plusieurs, il est préférable de vous désinscrire du site au risque de vous voir victime d’une arnaque. Dans certains cas, les erreurs de langue sont détectables sur le site en lui-même, gardez donc un œil ouvert.

Le lobe de l’oreille et le visage

Sachez que déposer un baiser au niveau du lobe de l’oreille de votre partenaire peut l’exciter au lit. Vous pouvez aussi le mordiller pendant les préliminaires pour voir sa réaction. Vous allez voir que votre partenaire montrera des sensations qui vous donneront des envies d’aller encore plus loin. Pensez à descendre sur sa nuque ou sur son cou s’il/elle se montre réceptive à vos sollicitations.
En outre, mordiller avec fougue le visage de votre partenaire peut aussi l’exciter quand vous faites l’amour. N’oubliez pas non plus les petits baissés. Ainsi, il n’y a pas que les baisers sur la bouche qui sont excitants au lit.

Les cheveux et les doigts

Les cheveux sont de véritables atouts érotiques surtout pour une femme. Elle peut exprimer sa sensualité à travers sa chevelure au moment de faire l’amour. D’ailleurs, voir une femme s’exprimer avec ses cheveux peut réveiller les fantasmes d’un homme au lit. Se faire agripper par les cheveux peut aussi s’avérer excitant.
Concernant les doigts, ils ne servent pas uniquement qu’à caresser votre partenaire ou à être introduit là où il le faut. Se faire embrasser les doigts peut s’avérer excitant sous la couette. Vous pouvez même lécher les doigts de votre partenaire en plein acte pour faire augmenter la température.

Les pieds et derrière les genoux

Vous pouvez aussi caresser ou chatouiller de manière subtile les pieds de votre partenaire pour le/la faire frissonner. Il suffit d’un simple geste pour faire monter le plaisir quand vous serez ensemble sous les draps. Vous n’avez qu’à vous y prendre correctement.
L’arrière des genoux peut s’avérer très intéressant pour exciter votre partenaire au lit. Pensez à y déposer de légers baisers avant de remonter doucement sur le haut de la cuisse. Vous verrez par vous-même que votre partenaire frissonnera. Il/elle éprouvera plus de plaisir contrairement à ce que vous pouvez l’imaginer.

Une manière de se renouer avec le corps

Se masturber est une manière de prendre contact avec son corps, de le connaitre un peu mieux et de voir comme ce dernier réagit à chaque geste que l’on exécute. C’est une manière de fusionner le corps et l’esprit afin d’atteindre l’orgasme. Pour les hommes, éjaculer une vingtaine de fois pendant un mois contribuerait à la santé de la prostate et permet une meilleure circulation sanguine au niveau de leur partie génitale. Pour la femme, certains médecins affirment que l’organe obtenu lors d’une masturbation limiteraient les risques d’une infection urinaire.

Un anti-stress efficace et un excellent remède cardio-vasculaire !

Lorsqu’une personne atteinte l’orgasme, son corps secrète plusieurs substance dont la plus importante est la dopamine, encore appelée l’hormone du plaisir. Cet hormone est un anti-stress très efficace. Généralement, le corps secrète la dopamine lors d’un orgasme, lorsque le sujet fume, ou boit. Masi bien évidemment, les effets sont estompés dans le temps. La libération de la dopamine lors d’une masturbation entraîne une sensation de bien-être absolu, et relaxe le corps. Pour ceux qui ont du mal à s’endormir la nuit, la masturbation est un anti-dépresseur garantit.
A coté de cela, la masturbation est également reconnue pour ses vertus cardiovasculaires. En effet, lors de l’excitation, le rythme cardiaque et la respiration s’accélèrent. Cette activité aussi simple soit elle a un effet très vertueux pour le cœur ainsi que pour le reste du corps. Jusqu’à aujourd’hui, aucun effet secondaire n’a été rapporté en ce qui concerne la masturbation.

Un piment pour sa vie de couple

Comme son nom l’indique, l’onanisme consiste à se faire plaisir à soit même. Mais c’est également un moyen de pimenter sa vie de couple. En effet, en se masturbant, une personne connait mieux son corps et pourra de surcroît guider son partenaire pendant l’acte. Il existe en effet des femmes qui ont un certain blocage lorsqu’elles couchent avec leur partenaire. La masturbation leur permettra de se laisser aller au plaisir et s’épanouir sans avoir à trop réfléchir.

Le tchat coquin

Le libertinage permet d’avoir des rapports sexuels en dehors de son couple. Le tchat libertin est une manière de le pratiquer. Pour une rencontre sex gratuite et rapide, avec ou sans webcam, le tchat coquin permet d’échanger des photos et des vidéos. La rencontre chaude se fait en ligne et il n’y a aucun tabou. Avec le tchat libertin, les échanges viennent facilement et les discussions sur les besoins et le plaisir se font tout naturellement. Ainsi, les interlocuteurs se font des confidences sur leurs envies et fantasmes et peuvent les assouvir via le tchat.

Ce tchat libertin rejoint le voyeurisme et l’exhibitionnisme, deux concepts dans lesquels on désire être vu ou voir. Voir, c’est prendre du plaisir au toucher de ce qui est caché. Etre vu ou admiré de manière secrète est en revanche un jeu qui suscite le désir en portant des vêtements sexy.

Diverses pratiques du libertinage

Forme de libertinage, l’échangisme consiste à intervertir les couples. C’est une pratique libertine privée prisée par certains couples souhaitant éviter les infidélités ou renforcer leur complicité. C’est un partage de plaisir. L’on ne cherche aucune relation sérieuse.

Le triolisme, quant à lui, fait appel à une tierce personne lors d’un rapport sexuel. Avec cette pratique, on découvre son partenaire sous un autre jour. C’est également une façon de pimenter l’amour.

Quant au caudalisme, il est semblable au voyeurisme. Il consiste à regarder son partenaire faire l’amour avec quelqu’un d’autre.

Le sado-masochisme et l’orgie sont plus qu’un jeu sexuel libertin. Le sadisme et le masochisme sont des concepts qui consistent à trouver du plaisir en faisant souffrir son partenaire. De son côté, l’orgie est une relation sexuelle à plusieurs qui pourrait engendrer des comportements dangereux.

Enfin, l’expérience bisexuelle est une pratique libertine qui assouvit un jeu libertin en découvrant les joies du sexe entre hommes ou entre femmes.

Les patients cibles

La pose d’un implant pénien passe toujours par une chirurgie. Près de 6 semaines après l’intervention, le patient peut reprendre une activité sexuelle normale. En cas de trouble érectile, les médecins optent d’abord pour la prise en charge médicamenteuse. Ainsi, en cas d’échec ce celle-ci, ils choisissent la voie chirurgicale. Effectivement, les injections peuvent être contraignantes, voire même douloureuses. De plus, elles peuvent ôter toute spontanéité et bloquer le désir surtout chez l’homme. Dans ce sens, la pose d’un implant pénien s’adresse aux patients réfractaires aux traitements médicamenteux du trouble érectile. L’avantage avec cette option est qu’elle est permanente, définitive et permet de retrouver une vie sexuelle normale indépendamment la cause de la pathologie. On remarque qu’en moyenne, l’âge des candidats pour la pose d’implant avoisine les 60 et 65 ans. Toutefois, il s’agit d’une solution envisageable à tout âge.

Le choix de l’implant pénien

Ceux qui souffrent de troubles érectiles ont le choix entre deux types d’implants péniens :
– L’implant semi-rigide : avec ce type d’implant, la verge est toujours en érection. Bien qu’il soit simple à utiliser, il procure une érection moins naturelle ;
– L’implant gonflable : il est équipé d’une pompe actionnable manuellement, ce qui permet de retrouver un état de repos et un état d’érection proche du fonctionnement naturel du pénis.
Mais, le choix d’un de ces implants doit résulter de la prise en compte de plusieurs paramètres. Ainsi, entrent en considération :
– L’âge du patient de son partenaire
– L’état de santé global du patient
– La taille de l’appareil génital
– l’espérance de vie
– et la présence de colostomie.
L’objectif avec la pose d’un implant est qu’il rétablit la fonctionnalité de l’érection. Quelques semaines après l’intervention, le patient est apte à reprendre progressivement sa vie sexuelle.

Pour pratiquer le humping

Le humping est une manière de se masturber qui consiste à stimuler le clitoris par un frottement externe. Il est pratiqué généralement avec un coussin ou à l’aide d’un canapé confortable. On n’a donc pas à investir dans un sextoy car on peut facilement se faire plaisir avec les moyens du bord.
Pour pratiquer le humping, on s’installe sur une chaise confortable de façon à avoir les jambes d’une part et d’autre du meuble. Puis on pose un coussin contre son entrejambe, en prenant le temps d’installer une serviette douce par-dessus. Il ne reste donc plus qu’à cambrer le dos et faire des mouvements de va-et-vient avec le bassin pour se faire plaisir.

L’indémodable concombre

S’il y a bien un accessoire qui peut remplacer un godemichet tout en procurant la même intensité de plaisir, c’est l’indémodable concombre. On s’en procure un facilement au marché, et qu’on enveloppe dans un préservatif avant de l’utiliser. Pour permettre une meilleure pénétration, il est vivement conseillé d’opter pour un lubrifiant.
Le concombre peut également être remplacé par la banane, et ce choix dépendra entièrement des préférences de chacun. Il en va de même pour la taille et la forme du légume. Cette pratique assez originale peut être testée pendant un rapport sexuel avec un partenaire afin d’essayer de nouvelles choses excitantes à deux.

Ouvrir l’esprit de ses enfants

Farcir la tête des enfants de mensonges à propos de la sexualité c’est les exposer à l’infobésité non sélective du monde d’aujourd’hui. Il vaut mieux que vos enfants apprennent la vérité par vous, vous qui en parlerez avec des mots choisis. Vous, parents, êtes les seuls à avoir le tact de se mettre au niveau de votre enfant. Rappelez-vous que ses questions ne dénotent pas d’une quelconque pensée vicieuse, mais relève plutôt de la curiosité normale. Donc, les réponses que vous leur donnez doivent être précises et vraies. Mais vraie ne veut pas dire totale. Donnez-leur les informations adaptées à leur âge. Et surtout évitez la gêne. Le sexe doit rester un sujet banal. L’idéal est que ce soit le parent du même sexe que l’enfant qui lui parle.

Quand en parler ?

En fait, l’éducation sexuelle d’un enfant commence un peu plus tôt que nous le pensons. Certes, la curiosité se réveille à l’âge de trois (3) ans. C’est le moment où l’enfant se découvre vraiment. Au moment du bain, il note chaque partie de son anatomie. Et l’enfant commence à réaliser que les toilettes des filles et des garçons sont séparées, ou que sa maman a des attributs qu’il n’a pas. Et quand on lui apprend le nom des différentes parties de son corps, il est préférable de lui apprendre le nom de ses parties génitales de la même façon que les autres parties, mais sans insister inutilement. Appeler son pénis tel quel et non « zizi » par exemple. Par ailleurs, il est raisonnable de recouper les informations avant de lui répondre. Il est nécessaire de faire parler l’enfant afin de savoir ce qu’il sait avant de répondre à ses questionnements.

Le confinement est-il l’occasion de redécouvrir les plaisirs solitaires ?

La réponse est oui. Du sexe au tel au sexting, en passant par le sexe par webcam interposées et par messages vocaux, nombreuses sont les solutions disponibles afin de maintenir une vie sexuelle épanouie. Dans ce contexte où la distanciation sociale fait figure de norme, la sexualité à distance n’aura jamais était autant d’actualité.

Particulièrement utile pour les confinés en solo, le sexualité au téléphone donne de nouvelles perspectives au confinement. Bien que pour certains habitués vivants en couple l’appel puisse s’avérer compliqué, pour d’autres, le sexe au téléphone offre la possibilité de partager un moment de complicité sexuelle même confiné.

Pour celles et ceux habitués aux rencontres en ligne et aux relations sexuelles régulières, le confinement est un vrai défi. Le recours au téléphone rose représente pour beaucoup une occasion de prendre du plaisir, mais aussi un instant pour rétablir du lien social. Alternative interactive aux sites pornographiques, le sexe au téléphone n’est pas réservé à la gente masculine. Beaucoup de femmes ont recours aux conversations sexuelles pour combler la solitude et assouvir certains fantasmes, en tout anonymat.

Pourquoi la masturbation est-elle importante en confinement ?

Par choix ou contraint, le confinement en solo est un défi supplémentaire, à la fois mental et sexuel. Pourquoi ne pas profiter de la période de distanciation sociale forcée pour apprendre à connaître son corps et découvrir ses zones érogènes ?

Selon une enquête Ifop, 42% des Français se sont masturbés au moins une fois pendant le confinement. Bien que les célibataires soient les plus adeptes des plaisirs solitaires, l’orgasme en solo ne leur est pas réservé. En effet, toujours selon la même enquête, 35% des personnes en couple qui vivent sous le même toit ont eu recours à la masturbation pendant le confinement (comme l’indique Loveactually.fr).

Se masturber constitue un moyen efficace de remplacer le sentiment d’anxiété induit par la crise sanitaire, par celui du plaisir favorisé par l’orgasme. Pour beaucoup, la masturbation permet de se reconnecter au corps et à la sensualité. Facilité par les outils de technologie moderne, la masturbation n’est pas seulement un acte qui s’effectue en solo. SMS, appels téléphoniques, chat en ligne ou encore vidéos, il existe de nombreuses solutions afin d’avoir du plaisir à deux ou à plusieurs, malgré la distance.

Covid-19 : peut-on encore avoir des rapports sexuelles ?

Changer de partenaires sexuels comme on change de masques n’est pas la meilleure des idées lorsqu’un virus circule. En théorie, l’acte sexuel en lui même ne présente pas de potentiel contaminant. En effet, aucune étude scientifique n’a révélé la présence de trace de la Covid-19 dans le sperme ou les sécrétions vaginales. Cependant, il paraît difficile de tenir le fameux mètre de distance sous la couette.

Pour les personnes en couple ou en relation suivie, la sexualité reste une occasion de redécouvrir les siestes coquines et les longues minutes de préliminaires. Bien entendu, les précautions d’hygiène demeurent essentielles :

• Lavez-vous les mains avant et après l’acte sexuel ;
• Évitez toutes les interactions sexuelles si vous ou votre partenaire présentez des symptômes de la Covid-19 ;
• Patientez encore le temps que la situation se tasse si vous faites partie des personnes à risque.
• Soyez créatif ! Le confinement de 4 milliards d’individus à travers le monde n’implique pas le confinement complet de la sexualité. En solo et à distance, par l’intermédiaire du téléphone et des écrans, les pratiques sexuelles s’adaptent à la crise sanitaire.

Les rumeurs sur la pilule du lendemain

Oui, une Française sur deux pense que la pilule du lendemain présente plus de risques qu’elle n’apporte de solution. La moitié de nos concitoyennes croient que cette pilule peut rendre stérile et qu’elle entraîne de nombreux effets indésirables. Pourtant, suite à un préservatif qui fuit, une pilule oublié ou un rapport non protégé, elles sont beaucoup à courir après la pilule du lendemain. La plupart semblent y être contraintes, n’ayant pas d’autre choix que de l’utiliser pour se protéger. Si elles avaient une autre alternative, elles la prendraient certainement.

Ce que n’est pas la pilule du lendemain

Il faut savoir que prendre la pilule du lendemain, ce n’est pas avorter, parce que ce n’est pas un médicament abortif. C’est un comprimé destiné à empêcher la fécondation d’une ovule par un spermatozoïde, pas plus. La pilule du lendemain n’entraîne pas la stérilité, elle n’agit pas sur la fertilité, contrairement à la pilule classique. Elle n’est pas dangereuse pour la santé même si une femme devait en prendre souvent. Elle ne fait pas non plus courir le risque d’une fausse couche plus tard, et cette pilule n’expose pas à une grossesse extra-utérine.